L’intelligence artificielle (IA) transforme déjà le secteur des télécommunications en révolutionnant la manière dont les opérateurs fonctionnent et offrent de la valeur. Cependant, cette révolution dépend d’un facteur critique : la qualité, la gouvernance et la fiabilité des données qui alimentent les modèles d’IA.
Le Maroc a pris les devants parmi les acteurs influents pour faire progresser la gouvernance mondiale de l’intelligence artificielle (IA), selon l’ambassadeur Omar Hilale. Le Royaume aspire à faciliter les vues communes et à encourager la coopération Sud-Sud dans le domaine de l’IA, en ancrant cette gouvernance dans les objectifs de développement durable.
La lutte pour savoir qui régule l’IA est loin d’être terminée, avec des propositions législatives qui pourraient avoir un impact significatif sur la réglementation des modèles et des applications d’IA au niveau des États. Les États, notamment la Californie et New York, ont déjà commencé à adopter des lois liées à l’IA, mais face à des mesures fédérales, leur capacité à protéger le public pourrait être compromise.
L’intelligence artificielle est sur le point de transformer chaque aspect de l’industrie pharmaceutique, de la découverte de molécules aux essais cliniques et au-delà. Cependant, dans un domaine où des vies humaines sont en jeu, la rigueur scientifique et la confiance réglementaire sont non négociables.